L’AN I DE LA DÉMOCRATIE! CENT ANS APRÈS LE TRAITÉ DE FÈS 1912-2012

L’AN I DE LA DÉMOCRATIE! CENT ANS APRÈS LE TRAITÉ DE FÈS 1912-2012

Mohamed Aouad

100 DH 18.00 €

Catégorie :
Type : Essais

Après avoir milité au sein de l’Istiqlal durant le Protectorat, il s’était engagé, après la scission intervenue en 1959, dans les rangs de l’UNFP, ancêtre de l’USFP : principale composante de la gauche marocaine. A l’issue de sa sortie, en septembre 1963, des geôles de Derb Moulay Chérif où il a pu avoir un avant-goût des tortures raffinées de Dar Mokri que subirent, par la suite, ses camarades du parti, Mohamed Aouad quitte, à contrecour, l’action militante, mais reste un observateur attentif de l’évolution politique du pays. Il a, de 1963 à 1975, travaillé dans le privé, avant de rejoindre l’Office National Marocain du Tourisme où il a assumé, en fin de parcours, les fonctions de directeur de cet office en Autriche. Ce livre permet au lecteur de mieux apprécier l’histoire contemporaine du Maroc en essayant de la focaliser durant le vingtième siècle, autour de sept dates-phares qui restent gravées, à jamais, dans notre mémoire et qui ont enclenché, chaque fois, des mutations et des tournants souvent décisifs de notre histoire. Il nous fait, en premier, vivre la lutte glorieuse que le Maroc mena, durant deux décennies, par les armes que prirent les valeureux combattants, conduits au Rif, par Abdelkrim El khattabi ; dans l’Atlas, par Moha Ou Hammou Zayani et dans nos provinces sahariennes, par le fils Ma’ El Aynine. Elle ne cessa qu’en 1932, faute de munitions, et non de combattants. L’auteur fait des analyses qui permettront au lecteur d’aller, comme le suggère Marcel Proust, « A la recherche du temps perdu », afin d’identifier les erreurs que commit le Maroc durant toute cette période.

ISBN

9789954104323

Dimensions 170 × 20 × 240 mm
Poids 0.60 kg
Reliure

Broché

Date de publication

2012

Nombre de pages

336

Langue

Biographie de l'auteur(e)

Après avoir milité au sein de l'Istiqlal durant le Protectorat, il s'était engagé, après la scission intervenue en 1959, dans les rangs de l'UNFP, ancêtre de l'USFP : principale composante de la gauche marocaine. A l'issue de sa sortie, en septembre 1963, des geôles de Derb Moulay Chérif où il a pu avoir un avant-goût des tortures raffinées de Dar Mokri que subirent, par la suite, ses camarades du parti, Mohamed Aouad quitte, à contrecoeur, l'action militante, mais reste un observateur attentif de l'évolution politique du pays. Il a, de 1963 à 1975, travaillé dans le privé, avant de rejoindre l'Office National Marocain du Tourisme où il a assumé, en fin de parcours, les fonctions de directeur de cet office en Autriche.